Nous arrivons à présent dans une période pleine de danger pour les actuelles équipes en lice pour les quarts de finale. Des matches à élimination directe qu’il ne faut donc pas prendre à la légère. Et deux équipes pourraient bien faire les frais de mauvaises surprises s’ils ne se méfient pas plus de leur prochain adversaire. Il s’agit en fiat du Brésil et de nos très chers Diables Rouges…
Bien qu’il soit à ce jour le dernier des premiers favoris de ces grosses sélections qui restent encore en lice dans ce mondial 2018, le Brésil ne doit pas sous-estimer pour autant son prochain adversaire. Le Mexique fera tout pour lui permettre de rejoindre la longue liste des ténors du ballon qui sont déjà rentrés chez eux sans passer le premier tour, comme l’Allemagne ou encore plus récemment l’Espagne. Mais si le Brésil doit se méfier, il y a également une autre équipe qui devrait prendre en compte ce genre d’avertissement. En effet, notre Belgique s’est montrée ambitieuse, commence à prendre la confiance, mais ne doit pas négliger pour autant qu’elle sera opposée au Japon, ce lundi 2 juillet en 8es de finale du Mondial-2018 et à 20h.
Si la coupe du monde a démarré le 14 juin 2018, pour le Brésil, tout commence maintenant et plus précisément ce lundi 2 juillet à 16h.
Tous les yeux sont donc rivés vers le joueur star de la Seleçao. Le meilleur de Neymar est-il en fait à venir ou sera-t-il encore frustré de sa défaite contre la Suisse (1-1). On se retrouve avec une des dernières stars du panneau de ce mondial, mais aussi avec un buteur au moral un peu touché qui s’est même retrouvé en pleurs contre le Costa Rica (2-0), avant d’être consistant contre la Serbie (2-0). Mais lors de cette dernière rencontre, on a pu constater cependant que le N.10 du Brésil semble monter en puissance, et cela est une bonne nouvelle pour les parieurs en ligne sur les sites de paris sportifs puisque c’est également l’image que donne son équipe qui le suit donc vers le haut.
Le sélectionneur Tite se dévoilera même en conférence de presse : « D’habitude je ne raconte pas ce qui se dit dans le vestiaire, mais là je vais le faire. J’ai dit à Neymar : « Tu as trop bien joué ». Il a retrouvé son meilleur niveau, celui d’avant sa blessure, et ça, c’est très difficile. ».
Tous les joueurs sont humains et on ne doute pas sur l’impact que peut avoir la pression d’un mondial sur les épaules d’un joueur, et surtout d’un joueur adulé et observé sous tous les angles comme Neymar qui peut donc tout à fait être victime d’un coup de mou ou de pression trop forte. Mais l’équipe du Brésil est solide et surtout solidaire et le joueur sait très bien qu’il pourra toujours s’appuyer sur son lieutenant Philippe Coutinho par exemple pour faire la différence. Un joueur qui a su se montrer présent sur le terrain avec ses deux buts et sa passe décisive. De plus, le Brésil profite également d’un socle défensif autour de Casemiro et d’un Thiago Silva qui se sont enfin retrouvés pour former une défense qui confirme la solidité de la Seleçao.
Mais le Brésil devra faire très attention, car il va affronter une équipe sans complexe. La sélection mexicaine a montré déjà les dents lors de son tout premier match inaugural contre l’Allemagne (1-0), alors que cette dernière avait le titre de champion du monde en titre. Et si on en croit les différents retours d’interviews des joueurs dans les médias, on sait qu’ils ambitionnent même « de gagner la Coupe du monde », comme le précisera le milieu de terrain Hector Herrera : « J’ai totalement confiance en mes coéquipiers, nous sommes prêts à jouer un grand match et continuer à rêver. Nous pouvons réaliser de grandes choses ensemble. ».
Mais si le « Tri » veut concrétiser ce rêve ambitieux, il va devoir enfin atteindre ce fameux cinquième match d’une Coupe du monde. Et ce n’est pas une chose si facile et surtout gagnée d’avance pour ce pays qui a déjà un passif pas très glorieux à ce stade de la compétition. En effet, ça fait six éditions consécutives que cet objectif échappe au Mexique. Le milieu Andrès Guardado en plaisante même : « Entre nous, on se dit comme une blague que si on gagne et qu’on arrive au cinquième match, il n’y aura rien à dire. ».
C’est le jour où les Diables Rouges doivent tout donner et surtout le moment de briller.
Les mots du N.10 belge Eden Hazard, lâchés lors d’une conférence de presse, seront alors le signe d’une ambition ferme et assumée de la Belgique : « C’est notre moment de briller, c’est sûr. ». Mais il faut bien avouer que la Belgique se donne les moyens d’y arriver. Qualifiée comme étant la meilleure attaque de la phase de poules, avec ses 9 buts, elle est la seule équipe avec la Croatie et l’Uruguay à avoir remporté trois matches sur trois. Les Diables Rouges impressionnent les observateurs, au point d’apparaître à ce jour comme le nouvel outsider N.1 de ce Russie 2018 plein de surprises. Mais il y aura eu cependant une petite ombre au tableau…Une petite stratégie pour tenter d’éviter le Brésil en demi-finale qui se terminera finalement par une ambition de favoriser le jeu et le sport au détriment de la stratégie et de la prudence.
Le match contre l’Angleterre (1-0) qu’elle ne souhaitait pas vraiment gagner « à tout prix », selon les mots du sélectionneur Roberto Martinez, a été remporté finalement haut la main par ses joueurs du banc. Une preuve avec cette victoire effectuée par les remplaçants, que la Belgique est un groupe finalement très riche en talents et surtout capable de varier sa stratégie de jeu à sa guise.
Mais tous les signaux sont au vert, les Diables Rouges devront cependant se méfier du Japon qui se montre plutôt surprenant à Russie 2018. Heureusement, l’équipe semble rester les pieds sur terre, comme le prouve la dernière déclaration de Hazard : « Nous savons ce que nous devons faire et ne pas faire, nous avons plus d’expérience. Il y a deux ans, nous avons eu quelques blessés. Le Japon est différent du Pays de Galles, nous apprendrons la leçon. ». Et vous ? Sur qui allez-vous parier sur Circus ou sur Bet777 ?