On assiste aujourd’hui, en Ligue des champions, à une affiche qui reste une réelle surprise et un choc d’habitués en demi-finales aller. En effet, les demi-finales de la Ligue des champions opposent deux équipes surprises à ce stade. Il s’agit de Liverpool et AS Rome qui s’affronteront ce mardi 24 avril 2018. On retrouvera également les favoris du Real Madrid et du Bayern Munich dans une finale endiablée mercredi soir. Mais nous vous parlerons plus en détail dans cet article, de ce que serait l’équipe-type autour de celui qui reste la star du club de Rome : Daniele De Rossi.
Ce mardi, ce seront donc les tombeurs des favoris Manchester City et FC Barcelone qui se défieront. Nous pourrons alors assister en fait à une sorte de remake de la finale de 1984, remportée on se souvient par Liverpool à… Rome. Mais attention, car ici, nous faisons face à des équipes surprises dans le dernier carré, simplement parce que Liverpool arrive aussi loin pour la première fois depuis 2007-2008. Mais aussi parce que la Roma n’avait disputé qu’une seule demi-finale de C1 jusqu’à présent en 1984.
Nous avons décidé aujourd’hui, et afin de vous aider à miser judicieusement sur votre site de paris sportifs, de vous présenter en détail quelle aurait été l’équipe-type des partenaires de Daniele De Rossi à l’AS Rome, un footballeur qui a vu passer de nombreux joueurs de talent à la Roma depuis ses débuts en pro en 2001, comme De Vincenzo Montella ou encore Edin Dzeko. Voici donc un petit aperçu, qui vous sera fort utile pour analyser et travailler vos paris sur Bet777, sur l’équipe-type de ses coéquipiers en club.
On commence avec le poste le plus en arrière sur le terrain. Même si Alisson, actuellement gardien de l’AS Rome, fait forte impression depuis deux saisons, il ne faut pas négliger pour autant un autre atout dans la poche du club. On retrouve en effet, en guise de second portier international, un brésilien qui a laissé son empreinte au sein du club Giallorossi. Doni a en effet passé pas moins de six saisons, de 2005 à 2011, dans la capitale italienne. Il a même remporté deux Coupes d’Italie, en 2007 et en 2008, et disputé le nombre impressionnant de près de 200 rencontres sous le maillot du club.
Il n’est pas exagéré de dire à ce jour que ce joueur est l’un des meilleurs latéral droit de l’histoire du foot. Et ce n’est pas le palmarès de ce footballeur brésilien hors norme qui dira le contraire, avec ses deux Copa Libertadores, mais aussi une Ligue des champions, deux Coupes du monde ou encore deux Copas America. Cafu a également fait le bonheur de l’AS Rome pendant six saisons, de 1997 à 2003 et a participé évidement à la conquête du titre de champion d’Italie en 2001.
On peut également dire que Walter Samuel a été également l’un des hommes forts du sacre de 2001. Alors qu’il était tout juste âgé de 22 ans à l’époque, ce défenseur central argentin venait de débarquer en Europe en provenance de Boca Juniors. On s’est retrouvé face à un athlète qui a tout de suite su prendre sa place et imposer son style rugueux. Il s’est retrouvé sur le terrain comme le patron de la défense romaine, et ce pendant quatre belles saisons, avant de s’envoler au Real Madrid puis à l’Inter.
Évoluant quant à lui pendant treize ans, de 1990 à 2003 au sein du club, Aldair est une légende de la Roma, où il a disputé plus de 400 matches. Pour preuve, on a même pu voir son numéro de maillot (le 6) avoir été retiré après son départ. Lorsque Daniele De Rossi a débarqué chez les pros, le Brésilien et ses 80 sélections n’était toutefois plus un incontournable chez les Giallorossi.
Hors de question de parler du latéral droit idéal sans parler du latéral gauche assuré par un homme que personne n’attendait là, lorsqu’il a débarqué dans la capitale italienne en 1997. Alors qu’il était en provenance de Guingamp, Vincent Candela s’est tout simplement et plutôt rapidement imposé au poste de latéral gauche de la Roma. Il y restera alors 8 saisons, de 1997 à 2005, et apportera son propre style offensif qui séduira alors les supporters romains. Il fera preuve d’un excellent niveau affiché en Serie A, qui lui ouvrira alors les portes de l’équipe de France pour 40 sélections.
On retrouve ici un joueur qui a longtemps été éclipsé par Francesco Totti. Mais il faut bien avouer qu’à présent, et depuis le départ à la retraite de Totti, que Daniele De Rossi est devenu le patron de la Roma. Effectuant ses débuts en pro, dès la saison 2001-2002, il s’est rapidement imposé deux ans plus tard comme un titulaire dans l’entrejeu. Alors qu’il est à peine âgé de 34 ans, il a déjà disputé plus de 700 matches avec le maillot Giallorossi. Cependant, et malgré le fait qu’il ait remporté deux Coupes d’Italie en 2007 et en 2008, l’international italien aux 117 sélections n’a en fait jamais conquis le titre de champion. Il a en effet terminé 9 fois à la 2e place, en 2002, 2004, 2006, 2007, 2008, 2010, 2014, 2015 et enfin 2017.
Nous terminerons cette équipe-type avec les milieux de terrain. Profitant de son activité défensive, de nombreux joueurs talentueux ont évolué aux côtés de De Rossi. On retrouvait par exemple Miralem Pjanic, évoluant à présent à la Juve, qui a ainsi joué à ses côtés pendant 5 saisons, de 2011 à 2016. Une association qui lui permettait alors de faire valoir sa qualité de passes, de frappes et sa vision du jeu. Mais histoire d’optimiser vos chances de remporter vos paris en ligne sur betFIRST, nous ne pouvons que vous conseiller de surveiller son actuel coéquipier du moment.
De Rossi est en effet accompagné par Radja Nainggolan, un joueur qui évolue dans un tout autre registre. On profite ici d’un jeune milieu de 29 ans, qui a su prouver qu’il était capable de tout faire dès son arrivée à Rome en 2014. Habile pour récupérer les ballons, mais aussi pour les distribuer, il arrive même à se projeter et à marquer, avec 14 buts la saison dernière, toutes compétitions confondues. Nous ne manquerons pas d‘éloges pour ce compatriote belge, et De Rossi expliquera même en janvier dernier au sujet de ce joueur : « C’est un vrai guerrier, un bon exemple pour beaucoup de gens, je dis aux jeunes de suivre ses pas sur le terrain ».