Le temps des paroles avant celui des actes en quarts

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Petite accalmie dans l’univers du mondial oblige, les heures sont à la parole plutôt qu’aux actes. Nous sommes à la vieille du démarrage d’un week-end chargé en matches, en affiches incroyables et surtout en émotions. Mais aujourd’hui, jeudi 5 juillet 2018, toutes les équipes soufflent un peu. Ce qui permet à certains de se dévoiler un peu plus, de faire le bilan, de se projeter et de témoigner de leurs expériences.

Les quarts de finale du Mondial-2018 ne commençant que vendredi, les langues se délient un peu plus et on peut assurément dire que les matches sont déjà lancés via les conférences de presse. On relève quelques phrases et déclarations pertinentes comme celle du Belge Vincent Kompany qui promet au micro de la presse de « regarder droit dans les yeux la Seleçao. ».

Un jour de repos, mais aussi de blabla

On peut dire que toute la planète foot a bien le calendrier en tête depuis ces dernières 24 heures. Le rendez-vous est en effet fixé pour les quarts de finale qui débuteront vendredi avec une première affiche de qualité puisqu’il s’agira du duel Uruguay-France à Nijni Novgorod, à 16h00. Suivra ensuite notre équipe des Diables Rouges qui affronteront le Brésil à 20h au stade de Kazan ; puis ce sera ensuite au tour de la Suède qui affrontera l’Angleterre à Samara et la Russie contre la Croatie à Sotchi à partir de samedi.

Nous sommes donc en belle période de pose depuis mercredi et jusqu’à ce jeudi. Des journées de repos en Russie qui leur permettent de soulager et reposer un peu plus efficacement leur corps, bien qu’il semblerait que l’esprit soit toujours en activité. En effet, lorsque l’on analyse un peu tout ce qu’il se dit dans les conférences depuis mardi soir, on ne peut pas dire que les joueurs aient fait relâche dans leur tête.

Belgique-Brésil

Pour la Belgique, Kompany a prouvé qu’il était déjà en mode combat depuis plusieurs heures, avant même de rencontrer la Seleçao : « Individuellement, le Brésil est l’équipe la plus forte dans cette Coupe du monde. C’est un compliment, mais ça ne change rien dans nos chances contre eux, aucun d’entre nous ne se couche le soir en pensant qu’on a déjà perdu contre le Brésil. Défensivement, ils sont solides, ils gagnent leurs duels et offensivement, ils n’ont pas peur du un contre un, pas peur de l’action individuelle, ils ont toujours une arme à utiliser pour débloquer la situation. On va les regarder droit dans les yeux, mais si on en fait un match individuel, on perd. ».

Il faut dire qu’en face de lui, il y aura notamment Neymar. Même s’il excelle dans l’art de la comédie le plus souvent sur le terrain, c’est bien pour ses talents de joueur qu’il a été titré comme le footballeur le plus cher du monde, avec notamment le rachat de 222 millions déboursé par le PSG pour cette sorte de coquille vide pour le club, mais qui reste un des attaquants les plus redoutés de ce tournoi mondial. Mais il est aussi un des plus critiqués, pour une tendance justement à simuler des fautes ou à en rajouter des tonnes au moindre petit contact. Gary Lineker, ex-international anglais devenu consultant, avait lancé par exemple sur Twitter un message à cette attention : « Neymar a la tolérance à la douleur la plus basse pour un joueur en Coupe du monde depuis qu’Opta, le statisticien du foot réputé, existe. ».

Côté France-Uruguay…

Ça chambre aussi un peu autour de cette belle affiche de vendredi après-midi.
On recense par exemple d’autres propos d’un défenseur qui parle d’un attaquant. Adil Rami, qui joue le rôle de boute-en-train des Français, a livré son verdict sur Edinson Cavani, le fer-de-lance de l’Uruguay. Alors que ce dernier est convalescent après avoir contracté une blessure musculaire à un mollet et que sa participation à ce match de quart est encore incertaine, le Bleu lance sans hésitation : « Le malheur des uns fait le bonheur des autres : ce n’est pas plus mal qu’il soit blessé, j’ai eu moi aussi une blessure au mollet, s’il joue c’est qu’il aura bien démonté la science en faisant mieux que les médecins, mais il faut arrêter de nous faire croire qu’il va jouer… ».

Rami, âgé actuellement de 32 ans, en a profité également pour adresser des messages à la jeune génération des Bleus qui l’accompagne et qui se trouve incarnée par Kylian Mbappé, tout juste âgés quant à lui de 19 ans : « Il faut faire comprendre aux jeunes que c’est bien d’avoir des qualités techniques, mais qu’il faut être prêt à souffrir pendant 90 minutes. Quand on regarde les matches à la télé, sur internet, on voit les joueurs rapides, techniques, mais le plus important c’est de souffrir, couvrir son équipier. ».

En ce qui concerne toujours Cavani, on retrouve un Blaise Matuidi, ex-partenaire de l’Uruguayen au Paris SG, qui reste quant à lui bien moins catégorique que son coéquipier Rami : « Edinson, je le connais super bien, il ne lâche rien, c’est un gagneur, il fera le maximum jusqu’au dernier instant pour jouer, il va tout donner pour être présent, mais je ne connais pas précisément sa blessure. ».

Nul doute que l’on verra si tous ces conseils sont appliqués à la lettre sur le terrain à partir de vendredi. En attendant, n’hésitez pas à consulter les cotes des équipes sur Circus ou à parier en ligne sur votre joueur préféré sur le site Bet777.

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