Le compte à rebours est lancé et il ne reste plus beaucoup de jour avant le démarrage de la prochaine coupe du monde de football 2018. Mais si la compétition se déroule entièrement et exclusivement en Russie cette année, êtes-vous certain pour autant de connaître tous les tenants et aboutissants de la compétition et plus particulièrement autour de ce pays organisateur ? Voici cinq choses essentielles et importantes à savoir sur la Russie, pays hôte du championnat du monde de foot qui se déroulera du 14 juin au 15 juillet 2018 pour le plus grand plaisir des joueurs qui vont miser sur le site de paris sportifs de leur choix. Des informations capitales à connaître si vous vous rendez sur place pour assister à différents matchs cet été.
C’est l’événement sportif international qui sera le plus suivi tout autour de la planète : la Coupe du monde de football ! La compétition se déroulera du 14 juin au 15 juillet en Russie et il nous paraît intéressant de vous dévoiler cinq choses que vous ignorez peut-être à ce jour sur ce pays qui fait régulièrement la Une des journaux…pas forcément en bien.
Vous pouvez tout à fait vivre une situation plutôt déconcertante et dépaysante en plein milieu de l’après-midi sur place. En effet, vous pouvez très bien prendre votre train de 14h00 alors qu’il fait nuit noire, car les horaires de toutes les gares sont à l’heure de Moscou en Russie. Un cas de figure insolite qui ignore en fait les onze fuseaux horaires de ce qui est ici considéré comme étant le plus vaste pays au monde, s’étendant de la mer Baltique à l’océan Pacifique sur plus de 17 millions de km2.
Il ne faut pas oublier que les Russes ethniques représentent la majorité des 146 millions d’habitants sur la planète. Enfin, sachez que le christianisme orthodoxe est la religion la plus influente sur le territoire ; ce qui n’empêche pas cependant le pays d’être l’un des plus multiculturels au monde. On peut tout aussi bien retrouver en masse des peuples du Caucase à majorité musulmane, que des populations bouddhistes de Sibérie ou turcophones.
On pourrait résumer par le fait que la Russie est l’héritière des Tsars et de l’URSS. Mais il nous paraît intéressant de vous en dire plus sur son histoire et plus particulièrement sur ses racines. Le lieu touristique le plus visité de Moscou est incontestablement la place Rouge, qui s’impose avec ses églises de l’époque tsariste qui côtoient les étoiles rouges du Kremlin et la momie de Lénine reposant dans son mausolée. Tout ceci englobe une masse de symboles de l’héritage très divers de la Russie actuelle alors que la mémoire nationale, qui s’est montrée particulièrement difficile et tragique, reste une question ouverte en Russie, comme une sorte de fracture sur laquelle les autorités ont du mal à s’entendre et refusent de trancher entre les valeurs conservatrices et traditionnelles héritées de l’empire tsariste et les bouleversements sociétaux apportés par la défunte URSS.
Ce n’est donc pas pour rien qu’on retrouve le président Vladimir Poutine aux commandes de la Russie, depuis plus de 18 ans et de voir son nouveau mandat courir jusqu’en 2024, étant donné qu’il est le pur produit de ce mélange des genres.
En Russie, il est désormais impossible de suivre un bon match de foot de la coupe du monde avec un morceau de pâté de nos chers voisins français, de cheddar britannique ou de frites maison bien de chez nous. En effet, le pays a instauré un embargo sur la plupart des produits alimentaires européens depuis l’été 2014, en réponse aux sanctions occidentales décrétées à son encontre. Il sera donc plutôt difficile, si vous êtes sur place, de savourer le Espagne-Portugal du 15 juin, le Argentine-Islande du 16 juin ou encore le Brésil-Suisse du 17 juin, en compagnie d’un bon vin français ou de bons produits issus de notre gastronomie comme nos gaufres flamandes fourrées à la cassonnade, notre lapin à la bière belge, notre carbonnade flamande ou encore nos incontournables chicons à la béchamel. Cependant, la grande distribution russe s’est tournée vers de nouveaux partenaires après avoir connu quelques difficultés d’approvisionnement. Le pays a également solidement renforcé sa propre production, bien que la qualité des aliments se soit parallèlement affaissée, au point de voir plusieurs scandales sanitaires défrayer la chronique dans le pays.
Si vous pariez sur des sites comme Bet777, vous vous êtes certainement rendu compte qu’en Russie, le hockey a bien plus la cote que le foot. Et c’est plutôt une chose logique puisque le hockey sur glace est en fait le sport roi en Russie. Un sport vraiment en harmonie avec le style de vie où les hivers sont particulièrement longs et rigoureux, transformant même de nombreux étangs en patinoires naturelles. Ilya Kovalchuk et Pavel Datsyuk, ou encore le légendaire attaquant soviétique Valeri Kharlamov, sont des noms de maîtres du palet qui accompagnent la croissance et les rêves des enfants russes qui grandissent en étant particulièrement influencés par cette discipline. Et ce n’est pas pour rien que vous verrez Vladimir Poutine chausser chaque année des patins à glace, étant un fervent adepte du sport, pour participer à un match de hockey sur glace avec des stars de la discipline, plutôt que des crampons pour participer à un match de foot. Mais en ce qui concerne le Mondial 2018, l’équipe russe de football n’a jamais semblé aussi faible, n’arborant aucune star du ballon rond et abordant ce Mondial à domicile sans vraiment de certitudes, si ce n’est celle d’avoir été sélectionnée d’office après les qualifications, car elle est le pays hôte. Ayant cependant accumulé les contre-performances au cours des derniers mois, elle ne sera peut-être pas vraiment l’équipe favorite de ce mondial sur les sites de paris comme betFIRST, un bookmaker parmi tant d’autres sur lesquels certains pronostiqueurs ne la voient même pas franchir le premier tour…
Si vous vous rendez cet été en Russie pour assister à un ou plusieurs matchs de cette coupe du monde, nous ne pouvons que vous conseiller de ne pas compter sur un internet fiable et fluide sur place, et de ne pas vous étonner de ne pas avoir accès en Russie à la plateforme vidéo Dailymotion ou au réseau social LinkedIn et à la messagerie Telegram. Pour les Russes, les blocages arbitraires de sites internet sur demande de la justice sont devenus la norme et il faut bien avouer que les autorités ont renforcé ces dernières années le tour de vis sur l’internet russe. Une stratégie mise en place au nom de la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme selon certains. Une situation plutôt axée sur un besoin de maîtriser le débat politique et étouffer les voix trop critiques pour d’autres.