La bataille sera rude entre les très nombreux pilotes qui se présentent sur les pistes des différentes compétitions de F1 prévues cette année. Il est temps de faire un peu le point, histoire de vous permettre d’optimiser vos paris sportifs, sur ceux qui se distingueront parmi cette meute de poursuivants en 2018. Le monde de l’automobile va rugir et nous vous conseillons de jeter un œil sur nos informations et sur le programme et les ambitions des écuries que nous allons vous dévoiler ci-dessous, histoire de peut-être miser sur les bons pilotes et les bonnes autos.
Une expression qui n’aura jamais eu autant de sens que cette année 2018 qui voit des pilotes vouloir assurément devenir les meilleurs du reste, comme pour l’écurie indienne Force India qui lutte pour la 4e place au Championnat du monde de Formule 1. Un combat qui s’apparente plutôt à un partage des miettes, et ce depuis 2016. On peut assurément déclarer que cette année 2018 ne devrait pas changer cet état de fait, car la concurrence s’annonce impitoyable et acharnée, avec des pilotes près à tout pour s’extirper et se démarquer du peloton. Une occasion pour nous de faire le point et de vous en dire plus sur toutes ces équipes prêtes à tout donner pour gagner.
7 équipes se retrouvent un peu à la traîne derrière les 3 « top teams » que sont Red Bull, Mercedes et Ferrari. Il faut savoir que l’an dernier, seule l’écurie Williams et son pilote Canadien Lance Stroll, est montée sur le podium. Tout comme ce fut également le cas au Grand Prix d’Azerbaïdjan, une course qui sera alors marquée par de nombreux incidents.
Lors des essais hivernaux, Force India et Williams sont deux écuries qui se sont montrées particulièrement discrètes, paraissant en retrait. Une situation qui est totalement à l’inverse de Renault, Toro Rosso et Haas, alors que McLaren suscitait quant à elle encore des interrogations et que Sauber semblait stagner. Mais il faut bien avouer que les conditions climatiques exceptionnelles de cette année ne permettent pas d’être catégorique au sujet des tests du moment, d’autant que plusieurs écuries promettent d’introduire dimanche 25 mars 2018 à Melbourne des « packages » différents. Des solutions qui sont en en fait supposées grandement améliorer les performances de leurs monoplaces.
Mais si dans cette optique, Force India est un cas à part, il est important de relever que l’écurie doit cependant changer de nom et changera peut-être même de propriétaires, quelques jours avant le coup d’envoi de la saison. Des incertitudes que nous allons tenter d’éclaircir, car sa performance aux essais de Barcelone a suscité quelques inquiétudes sur sa capacité à se sublimer dans ce contexte qui reste vraiment incertain.
Nul doute que la meilleure écurie cliente de Mercedes devra aussi gérer la rivalité entre ses deux pilotes, le Français Esteban Ocon et le Mexicain Sergio Pérez, qui a fait des étincelles l’an passé. Ocon, issu de la filière de jeunes pilotes Mercedes et qui jouera gros pour son avenir, souligne à ce sujet : « Force India a réalisé des podiums chaque année sauf en 2017, alors que nous étions plus compétitifs que la saison précédente. ».
Le revenant polonais Robert Kubica signe son retour quant à lui chez Williams, en qualité de nouveau pilote de réserve, et attire plus la lumière que le Russe Sergey Sirotkin qui lui a été préféré dans le deuxième baquet, aux côtés de Stroll.
Haas entend quant à lui participer plus souvent aux Q3, et sera donc présent lors des ultimes sessions des qualifications du samedi qui rassemblent les 10 meilleurs.
Du côté de l’écurie Renault, la marque au losange compte 30% d’employés en plus par rapport à début 2016 et au rachat de Lotus, et s’est fixé l’objectif de lutter pour des podiums dès cette saison avant de viser le titre à l’horizon 2020-2021. Une team qui compte radicalement sur son duo hispano-allemand composé de Carlos Sainz Jr et Nico Hülkenberg qui devra donc se montrer aussi solide en piste qu’il l’est sur le papier ; d’autant plus que Renault de ne s’interdit pas quelques trouvailles techniques, comme cet échappement incliné de cinq degrés vers l’aileron arrière, un système qui fait déjà grincer des dents dans le paddock.
Du côté de McLaren, on reste confiant, malgré Toro Rosso qui a connu des débuts idylliques avec Honda en pré-saison. Mais il faut savoir que le véritable test sur la fiabilité du moteur japonais, qui a posé tant de problèmes à McLaren entre 2015 et 2017, aura lieu en Australie.
Du côté de Mercedes, le champion du monde en titre et britannique Lewis Hamilton, voit quant à lui « la surprise de l’année » dans l’écurie américaine arrivée en F1 en 2016, alors qu’elle semble avoir enfin réglé ses problèmes récurrents de freins ; cependant, elle souffre encore un peu de demeurer une structure encore très jeune, disposant d’un budget relativement modeste. Une écurie dont nous vous conseillons de cependant de surveiller la cote sur Bet777.
Côté Sauber, l’écurie a reçu le patronage d’Alfa Romeo à l’intersaison. Mais ce n’est pas tout puisqu’elle profite également d’un moteur Ferrari dernière génération. Elle va donc tenter d’abandonner son statut de lanterne rouge, notamment grâce à sa toute nouvelle recrue en la qualité du Monégasque Charles Leclerc.
Et enfin pour terminer ce tour des écuries, on retrouve McLaren, qui a peu roulé en Catalogne suite à une série de défaillances, et qui se veut néanmoins confiante. Elle a fait preuve en effet de beaux essais avec des chronos honorables et peut compter sur le Belge Stoffel Vandoorne. Elle pourra également compter sur l’Espagnol Fernando Alonso, qui disputera en parallèle le Championnat du monde d’endurance.