C’est une des grandes nouvelles sportives de ce début de semaine qui fait la joie de tous ceux qui avaient misé sur le pilote dimanche sur les sites de bookmakers comme Circus. La valeur sure de la Formule 1, Hamilton, égale les 5 titres de Fangio dans l’adversité. En effet, le pilote britannique Lewis Hamilton est sacré champion du monde de F1 pour la 5e fois, après le GP du Mexique, le 28 octobre 2018 à Mexico.
C’est une occasion qui est offerte ici à Lewis Hamilton de devenir, dans l’adversité, l’égal de Juan Manuel Fangio. Hamilton a en effet été sacré champion du monde de F1 pour la cinquième fois de sa carrière hier, dimanche 28 octobre 2018. Une victoire qui tombe à point nommé malgré sa décevante quatrième place au GP du Mexique, remporté par Max Verstappen.
Tout juste âgé de 33 ans, le Britannique de Mercedes est désormais le deuxième pilote le plus titré au Championnat du monde. Une situation qui le place à tout juste deux longueurs de l’Allemand Michael Schumacher. Il se félicitera alors en déclarant que « Le nom d’Hamilton restera pour toujours dans l’Histoire. » ; n’oubliant pas cependant de rappeler les « difficultés rencontrées pour en arriver là. » ; faisant référence ici au fait de ses origines modestes. Une réaction plutôt légitime qui le pousse ensuite à réagir de nouveau : « C’est un peu surréaliste, après une année difficile et une grande bataille. ». Le pilote fait alors ici référence à Ferrari et à son pilote allemand Sebastian Vettel, avant de poursuivre : « Mes sentiments sont partagés. La course a été compliquée. Après un bon départ en étant 4e sur la grille, et 2e au premier virage, les choses n’ont fait qu’empirer lorsque mes pneus se sont dégradés trop rapidement. Mais ça reste quand même un bon résultat. ».
Si vous avez parié sur ce champion qui vise désormais le doublé chez les constructeurs avec les Flèches d’argent, qui voient leur avance sur Ferrari se réduire de 66 à 55 points à l’issue de la manche mexicaine, vous avez alors très certainement misé juste et empoché hier un joli petit pactole. Mais il n’est pas trop tard de continuer les paris sur les autres sports en misant sur Bet777 par exemple.
Il faut dire que Hamilton, pour remporter le titre devant Vettel, n’avait besoin que d’une septième place sur le circuit des frères Rodriguez. Un Vettel qui était quant à lui condamné de son côté à devoir impérativement gagner pour prolonger le suspense.
L’Anglais qui avait beau être sacré avec une neuvième place seulement à Mexico l’an dernier, espérait cependant cette fois l’être de nouveau…mais avec la manière.
Et c’est ainsi que l’on aura pu assister à un Vettel qui, dans un ultime effort, est remonté de la quatrième place sur la grille à la deuxième à l’arrivée. L’Allemand témoignera ensuite à l’arrivée : « Cela n’a pas été un jour facile à vivre. Il faut accepter ce qu’il se passe, dire bravo. J’aurais aimé que ça dure un petit peu plus longtemps, mais cela n’a pas été le cas. ».
Une occasion pour féliciter au passage un autre pilote Ferrari en la qualité du Finlandais Kimi Räikkönen qui est arrivé quant à lui troisième.
Et bien il faut bien avouer que Verstappen, le jeune prodige de 21 ans qui s’est montré frustré d’avoir raté l’occasion la veille de devenir le plus jeune poleman de l’histoire de la F1, a pris le meilleur au départ sur son équipier Daniel Ricciardo, parti en pole position.
Vainqueur pour la deuxième année consécutive au Mexique, il s’est consolé avec un autre record qui est donc celui du plus grand nombre de victoires sans jamais être parti en pole avec 5 victoires. Il faut dire que l’Australien n’a pas eu vraiment de chance, car il a ensuite été contraint par une panne à un huitième abandon cette saison, un record pour 2018.
Hamilton a subi des débuts que l’on peut considérer comme contrariés. On le verra en effet devoir attendre la quatrième manche en Azerbaïdjan pour s’imposer. Mais ce sera alors sur un coup du sort, car il profitera à la fois d’une erreur de pilotage de Vettel et de la crevaison surprise de Valtteri Bottas. Hamilton montera alors en régime, comme ce fût assez souvent le cas pendant l’été 2018.
Il remporté ainsi six des neuf dernières courses, mais manquera cependant pour cinq petits points sa première occasion d’être sacré, au GP des États-Unis dimanche dernier, le 21 octobre 2018.
Mais il faut bien avouer que l’histoire se répète et que le pilote Mercedes a donc aussi profité, comme ce fût le cas l’an passé, des errances stratégiques de Ferrari. Mais aussi d’une série d’erreurs de Vettel qui ne semblait pas sous son meilleur jour. Une suite logique pour cet Allemand qui n’a plus gagné depuis le GP de Belgique qui s’était déroulé fin août.
Non satisfait d’avoir enlevé l’an dernier à Schumacher son record de pole positions, le pilote britannique peut désormais viser également ses records de victoires (71 contre 91), mais aussi de podiums (132 contre 155) et donc de titres, pour le plus grand plaisir des parieurs qui le suivent en ligne pour miser sur lui sur des sites de bookmakers comme Bwin. Vous savez ce qu’il vous reste à faire si vous souhaitez gagner gros en misant sur ce pilote !