Il est temps de vérifier les cotes et les bonus de paris sportifs proposés chez les bookmakers si vous suivez le championnat de NBA de près. Un nouveau tournant vient de voir le jour avec Boston qui éteint donc littéralement Philadelphie, et qui se prépare à défier Cleveland. On retiendra par exemple ce fabuleux moment où Terry Rozier, des Boston Celtics, tentera sa chance face aux 76ers de Philadelphie lors du match 5 du 9 mai 2018 à Boston. Nous vous invitons à revivre les instants les plus marquants de cette rencontre et d’évaluer un peu les équipes afin de vous permettre de miser plus judicieusement sur vos sites de paris sportifs en ligne habituels.
Et voici que le tout dernier billet pour les finales de conférence du Championnat NBA vient d’être attribué. Il est donc revenu mercredi 9 mai à l’équipe de Boston. Une équipe solide qui a mis fin à la belle aventure de Philadelphie. Mais ce n’est pas tout puisqu’elle est à présent la prochaine sur la liste de ceux qui vont défier maintenant Cleveland et son impressionnant joueur star : LeBron James.
Il faut bien avouer que l’on a pu profiter d’un premier tour plutôt explosif, dont nous vous relations assez souvent des rebondissements tout au long de la saison. Mais il faut également admettre que le second tour des play-offs NBA a été quant à lui plutôt décevant. On s’est retrouvé face à une session qui n’a duré que 19 matches sur 28 possibles. Une situation cette année qui fait de ce play-off le plus expéditif de l’histoire après 1999 et 2010 qui comptabilisait un match de moins.
Mais si après les démonstrations de Cleveland qui avait remporté sa rencontre 4-0 face à Toronto, de Houston et son 4-1 face à Utah et de Golden State pour un 4-1 face à La Nouvelle-Orléans, les dirigeants de la NBA espéraient un show d’anthologie autour du duel d’hier entre Boston et Philadelphie, ils n’auront cependant pas vraiment eu droit à un combat acharné et virevoltant. Ce match N°5 s’est en effet montré plutôt indécis jusqu’au bout. Mais il est intéressant de relever cependant que Boston était trop fort pour la jeune garde de Philadelphie qui jouait pourtant devant son public ; des supporters qui ne l’avaient jusqu’à présent pourtant pas vu perdre depuis le coup d’envoi des play-offs…
Que dire alors cependant de ce cruel manque de chance qui a touché les Sixers, alors qu’ils étaient pourtant en tête avec un score de 109-107 à 90 secondes de la sirène ?! Son avenir au sein du championnat sera alors bouleversé par une interception judicieuse d’Al Horford, devant Dario Saric, et par la validation d’un panier de Jayson Tatum qui ont permis donc à Boston de prendre l’avantage dans la toute dernière ligne droite, pour un final de 114-112. Une rencontre qui aurait peut-être trouvé une fin différente si Joël Embiid, le pivot camerounais de Philadelphie, n’avait pas gaspillé deux occasions de reprendre l’ascendant…Mais les jeux sont faits et Philadelphie devra céder sa place. Il est temps de vérifier les cotes sur Bet777 car les enjeux sont à présent plutôt bien engagés.
Nous avons relevé pour vous quelques réactions intéressantes des participants à cette rencontre.
Embiid par exemple, alors qu’il a été auteur de 27 points, tout comme Saric, admettra : « C’est difficile, car je pense que nous avions une belle chance de passer ce tour, mais il faut reconnaître qu’ils ont bien joué. » ; alors que l’entraîneur, Brett Brown, de son côté rappellera : « Si on nous avait dit en octobre à la reprise de l’entraînement qu’on arriverait au 2e tour des play-offs, on ne l’aurait pas cru, l’objectif était d’aller en play-offs ».
Mais il faut bien admettre également que, mis à part cette élimination 4-1, la saison des Sixers est particulièrement prometteuse et porteuse de belles promesses. On assiste ici à un processus de rajeunissement extrême de ses cadres (« The Process ») entrepris par ses dirigeants qui s’est montré finalement payant. L’équipe n’avait en effet plus participé aux play-offs depuis 2012. Pire encore, elle restait sur quatre saisons désastreuses avec 75 victoires seulement en 328 matches…Mais elle sera tombée hier soir sur une équipe de Boston qui affiche une incroyable capacité à rebondir, malgré l’absence de deux de leurs stars en la qualité de Gordon Hayward, blessé dès le premier match de la saison, et de Kyrie Irving qui a été quant à lui opéré d’un genou en avril. On a pu le constater : les Celtics de Boston trouvent toujours des solutions à leurs problèmes et elles portent deux noms. Mercredi, Jayson Tatum (20 ans) et Jaylen Brown (21 ans) ont marqué respectivement 25 et 24 points et font office de joker, comme souvent ces dernières semaines dans l’équipe. Al Horford, vétéran ayant marqué 15 points admettra avec un peu d’admiration dans les yeux : « Rares étaient ceux qui nous voyaient arriver si haut, si loin, avec tout ce qu’on a vécu, mais je vois ces jeunes s’entraîner et se préparer tous les jours : ils veulent réussir de grandes choses ».
Et le plus dur porte un nom : l’ogre LeBron James. On se demande vraiment si Boston sera capable de faire mordre la poussière, à partir de dimanche 13 mai 2018 à l’ogre LeBron James. Le joueur est fin prêt à affronter l’équipe et semble plus fort que jamais du haut de ses 33 ans. Le fait que Brad Stevens, l’entraîneur des Celtics, soit conscient que son équipe ne partira pas favori reflète assez bien la faible cote de Boston sur des sites de bookmakers comme betFIRST. Il reste lucide et sait pertinemment qu’il pourrait avoir du mal à empêcher « King James » de disputer une huitième finale de suite : « LeBron évolue à un tel niveau, c’est impressionnant, on sait que cela va être un sacré défi à relever, mais le plus important pour l’instant est de donner un jour de congé à l’équipe jeudi 10 mai, et de bien respirer ».